La libre administration des collectivités territoriales est une liberté fondamentale. Elle ne peut s’exercer que si au niveau communal, celles-ci ont les moyens de gérer à leur échelon la bifurcation écologique dont nous ne pourrons pas faire l’économie. C’est bien l’échelon communal qui est la première strate pour œuvrer efficacement aux transformations qui vont naitre immanquablement pour faire face à l’urgence climatique et à la désagrégation sociale.
Pour cela les communes ont besoin que leur Dotation Globale de Fonctionnement soit revalorisée et non diminuée d’année en année comme depuis le mandat catastrophique de François Hollande.
Rénover nos bâtis, déminéraliser des pans entiers de nos villes pour y faire revenir des arbres dans les cours d’école par exemple, installer du photovoltaïque partout où c’est possible, diminuer la lumière la nuit, sanctuariser les terres agricoles.
C’est le combat de notre majorité pour les magnycois. Ce sont des actions locales que l’on peut mener utilement pour le bien commun et c’est du même genre de majorité dont l’Assemblée Nationale a besoin.
Nous allons élire nos députés, le programme l’Avenir En Commun de la Nouvelle Union Populaire Ecologique et Sociale est la seule solution viable, il faut donc voter massivement pour ces législatives, pour des femmes et des hommes conscients des combats écologiques et sociaux à mener en urgence pour notre climat et nos vies et qui ne s’occupent pas seulement de gâter les plus riches.